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11 juin 2013

AIL

 

 bismallah

 

n076

 

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Philosophie'tournée'vers'le'monde'réel'désignant

un mouvement'de pensée'selon lequel n'est vrai'

que ce qui a de réelles conséquences,'tel est le

pragmatisme'à'ne'pas confondre avec le qualifi-

-ant pragmatique. Ce'n'est'pas'pour des'connais

-sances,'mais'pour agir'que'le*mot*pragmatique

peut'se'définir,concernant'la'simple'capaci'à s

adapter'aux contraintes'de la réali'ou'encore'l’

idée,'selon laquelle l’intelligence'par la*pensée*

et l'appréhension des idées s'opposant aux con

-ceptions,'sans'renoncer à la logique'Penser une

chose revient à identifier les implications prati

-ques'nécessaires, pareilles aux sciences se ré

-vélant progressivement par l'expérience. ...

 

Le pragmatisme est plus une attitude philosophique qu'un ensemble de dogmes. « Pragmatisme » vient du grec pragma, action, ce qui atteste du souci d'être proche du concret, du particulier, de l'action et opposé aux idées abstraites et vagues de l'intellectualisme. Il s'agit en fait d'une pensée radicalement empiriste : la notion d'effet pratique est étroitement liée à la question de savoir quels effets d'une théorie sont attendus dans l'expérience.

 

La maxime pragmatiste consiste à se demander, pour résoudre une controverse philosophique : quelle différence cela ferait en pratique si telle option plutôt que telle autre était vraie ? Si cela ne fait aucune différence en pratique, c'est que la controverse est vaine. En effet, toute théorie, aussi subtile soit-elle, se caractérise par le fait que son adoption engendre des différences en pratique.

 

Ce courant naît en 1878 avec Charles Sanders Peirce dans l'article « How to make our ideas clear » (comment rendre nos idées claires) paru dans la Revue Philosophique, puis est repris et popularisé par William James dans le recueil Le Pragmatisme.

 

Chez James, l'application la plus célèbre de la méthode pragmatiste concerne le problème de la vérité. Cela consiste à dire que le vrai absolument objectif n'existe pas car on ne peut séparer une idée de ses conditions humaines de production. La vérité est nécessairement choisie en fonction d'intérêts subjectifs. Pour autant, on ne peut réduire le vrai à l'utile, comme l'ont soutenu les détracteurs du pragmatisme car cette théorie de la vérité conserve d'une part une idée d'accord avec le réel (accord défini comme vérification et non comme correspondance terme à terme). D'autre part, ce qui bloque le passage des préférences esthétiques ou morales subjectives au décret de vérité c'est l'idée de cohérence interne avec l'ensemble des vérités déjà adoptées.

 

Chez John Dewey, l'attitude pragmatique sera présentée comme l'opposé de la théorie spectatoriale de la connaissance. Connaître n'est pas voir, comme c'est par exemple le cas dans le cadre d'une compréhension schématique et extrêmement simpliste de la tradition cartésienne (Descartes comparait les idées à des sortes de tableaux), mais agir. Cela conduit à relativiser la notion de vérité, ce qui fut, du coup, le signe principal de reconnaissance de l'appartenance au pragmatisme. À ce titre, le pragmatisme fut souvent caricaturé.

 

Chez John Dewey, le pragmatisme s'apparente de plus en plus à une philosophie sociale, voire à une pratique de recherche politique. La philosophie, suggère-t-il par exemple dans Reconstruction en philosophie, doit reproduire dans le domaine socio-politique ce que la science moderne accomplit dans le domaine technologique.

 

 

 

L'idée pragmatiste a commencé à émerger au club métaphysique un club philosophique fondé en janvier 1872 et dissous en décembre 18721. Parmi les membres les plus connus on trouve deux des grands fondateurs du pragmatisme Charles Sanders Peirce et William James, un juriste et futur membre influent de la cours Suprême des États-Unis Oliver Wendell Holmes mais également Chauncey Wright (philosophe et mathématicien), John Fiske (philosophe), Francis Ellingwood Abbot, Nicholas, Joseph Bangs Warner et St. John Green un juriste disciple de Jeremy Bentham 2, tous ou presque anciens de l'université de Harvard. Green a fait connaître au groupe les idées d'Alexander Bain3 sur la croyance comme habitude d'action. Ce paradigme va profondément marquer Peirce et le pragmatisme. Le nom même de club métaphysique a été choisi « moitié par ironie4,moitié par défi » car ils n'ont jamais voulu faire de la métaphysique au sens traditionnel, mais du moins pour Peirce, bâtir une métaphysique scientifique et réaliste, c'est-à-dire non nominaliste. Une autre étape clé dans la formation du pragmatisme sera constituée par les articles que publie Peirce en 1877 et 1878, textes qui sont considérés comme fondateurs du pragmatisme (voir tableau)

 

 

Peirce, l'inventeur du terme, s'est servi du grec et de l'usage que fait Kant du mot pratique (Praktish) comme « approche spécifique que réclame l'être humain du point de vue de son appartenance au monde »5. Si Peirce crée le mot, c'est William James qui le popularise, tant dans une conférence de 1898 intitulée « Philosophical conception » que dans le livre de 1907 intitulé simplement Pragmatisme6. Le mot sera très rapidement repris par les journaux et le langage populaire, ce qui gêne Peirce qui estime qu'il est mal compris. Cela l'amène à forger un mot qui ne pourra pas être facilement repris, et qui sera même assez vite oublié, le « pragmaticisme »6. En fait, le motif peut-être le plus important dans l'adoption par Peirce d'un mot nouveau est à trouver dans sa profonde divergence avec le pragmatisme de James. Le dernier cité étant fondamentalement nominaliste, pour lui, « le vrai n'est que l'expédient dans notre façon de penser, le bien n'est qu'un expédient dans notre manière de nous comporter »7 alors que Peirce se réclame de Duns Scot et pense que la vérité est la conformation à une vérité indépendante de notre pensée, représente une existence indépendante de notre pensée. Par ailleurs, James donne au pragmatisme une vision humaniste alors que pour Peirce, il est une « une méthode de clarification conceptuelle qui doit, une fois éliminés les faux problèmes de la métaphysique traditionnelle, jeter les bases d'une nouvelle théorie de la signification et de la connaissance, au service d'une métaphysique purifiée dont la double caractéristique sera d'être scientifique et réaliste »8

 

Malgré ces divergences, le pragmatisme gagne assez rapidement du terrain aux États-Unis au point d'être considéré comme une philosophie américaine. À l'université d'Harvard, il influence la pensée de deux autres grands philosophes du moment : Josiah Royce et George Santayana

 

 

 

Après la seconde guerre mondiale, la philosophie pragmatique dans sa version James-Dewey céde le devant de la scène à la philosophie analytique inspirée en partie par Bertrand Russell, et par l'empirisme logique de Gottlob Frege et du Cercle de Vienne9 qui en constituera l'élément majeur pendant vingt ans. Cette influence est renforcée par l'arrivée aux États-Unis des figures majeures de l'empirisme logique que sont Rudolf Carnap, Hans Reichenbach et Carl Hempel 9. Cette philosophie sera plus technique que celle de James et de Dewey et attirera des philosophes américains comme Willard Van Orman Quine ou Nelson Goodman qui malgré tout ont subi également l'influence du pragmatisme10. En fait ce sont eux qui à travers leur critique des dogmes de l'empirisme logique vont permettre un renouveau du pragmatisme qui va être marqué par « la philosophie analytique et ses développements »11.

 

 

 

Pour plusieurs raisons, le pragmatisme est passé longtemps, notamment en Europe, pour une non-philosophie ou pour une « ploucquerie américaine » 12. Tout d'abord, le pragmatisme est une philosophie active qui ne recherche pas la vérité par le seul intellectualisme. Son fondateur, Charles Sanders Peirce s'oppose à « toutes les métaphysiques du fondement qui, d'Aristote à Descartes, en passant par Locke ou Hume, croient pouvoir fonder la philosophie sur des intuitions, des données sensorielles ou des premiers ultimes »13 et veut « sortir du labyrinthe des mots »13. Par ailleurs, le pragmatisme se veut « une méthode de clarification conceptuelle13. » comme le montrent les premiers écrits pragmatiques : "How to Make Our Ideas Clear (comment rendre nos idées claires)" pragmatique publié en 1878 par Charles Sanders Peirce. Si cette vision des choses est d'abord propre au pragmatisme de Peirce, malgré tout le pragmatisme en général, met l'accent sur la philosophie comme façon de rendre conscient et pensable les problèmes. Si cette vision des choses est d'abord propre au pragmatisme Peircéen dont nous verrons qu'il diffère de celui de William James, malgré tout le pragmatisme met l'accent sur la philosophie comme façon de rendre les problèmes. John Dewey à la suite de Peirce insiste sur ce point :

 

« d'un certain point de vue, le principal rôle de la philosophie consiste à rendre conscients, sous une forme intellectualisée, ou sous forme de problèmes, les chocs les plus importants et les troubles inhérents aux société complexes et en mutation, en tant qu'elles ont affaire à des conflits de valeurN 1 »

 

Enfin, les pragmatiques n'ont pas une vision contemplative de la connaissance14, ils se focalisent plutôt sur les manifestations pratiques. C'est ainsi que pour Peirce, le pragmatisme est synthétisée dans ce qu'on appelle la maxime pragmatique :

 

« Considérer quels sont les effets pratiques que nous pensons pouvoir être produits par l'objet de notre conception. La conception de tous ces effets est la conception complète de l'objetN 2 »

 

Pour Peirce, cette maxime à pour effet de pouvoir rendre compte d'une hypothèse en évaluant ses conséquences pratiques et donc de nous permettre de mieux comprendre ce que nous ferons ou devrions faire15. Le fait que William James se contentera d'étudier les conséquences pratiques sur l'individu traduit une différence de perception de la maxime. Pour James, il s'agit d'un principe métaphysique et pour Peirce d'un principe logique composante de la méthode scientifique16. En effet, pour lui la maxime pragmatique doit permettre de procéder à des tests scientifiques reposant sur l'idée que si l'hypothèse est fausse alors elle n'aura pas les conséquences prévues16.

 

 

 

Pour Jean-Pierre Cometti, le pragmatisme est une philosophie de la croyance17. Par là, il veut énoncer deux faits inhérents au pragmatisme. D'une part les philosophes pragmatiques partent non pas d'une idée mais d'une croyance, ce qui les oppose à Descartes 17. D'autre part, le pragmatisme voit la croyance comme habitude d'action à la suite des travaux d'Alexander Bain (philosophe)18. Pour Peirce,

 

« une véritable croyance ou opinion est quelque chose sur la base de quoi un homme est prêt à agir; c'est par conséquent en un sens général, une habitudeN 3 »

 

Charles Sanders Peirce reproche à Aristote et à l'« esprit du cartésianisme » qui, pour lui, inclut une tradition qui remontant à Aristote va de René Descartes à John Locke de faire de l'intuition la source des axiomes sur lesquels reposent les raisonnements déductifs19. Il reproche également aux empiristes anglais et écossais (George Berkeley, David Hume, Thomas Reid) de penser qu'on peut déduire des idées simples de l'expérience19

 

Concernant plus spécialement Descartes dont la mise en doute d'une pensée est au centre de sa philosophie, Peirce lui oppose au moins trois grands arguments. D'une part, pour Peirce le doute n'est pas naturel et il doit être justifié ce que Descartes ne fait pas. Par ailleurs, pour Peirce le doute est lié au monde où nous vivons20. Nous touchons là un autre point important du pragmatisme à savoir que pour lui, à la différence de Descartes, l'individu n'est pas un atome mais est en relation avec les autres20 et qu'il est donc pour partie déterminé par son environnement. Nous verrons plus loin pourquoi cette vision de l'homme, qui est aussi celle du nouveau libéralisme anglais et du social-libéralisme qui lui est lié, influence également la conception de la démocratie du pragmatisme. Enfin, Descartes part de la conscience qu'on a d'une idée. Donc, ce qui pour les cartésiens peut être vu comme deux idées différentes peut être interprété pour les pragmatistes qui étudient les idées sur le plan des conséquences pratiques comme constituant une seule idée, ou pour parler pragmatiste une seule croyance21

 

Peirce et à sa suite les pragmatistes préfèrent penser que les hommes suivent des croyances qui chez eux entraînent des habitudes qui elles-mêmes provoquent nos actions. Mais à la différence de Thomas Reid22, pour Peirce les croyances ne sont pas des principes premiers qui mènent à la connaissance, elles sont des hypothèses qui doivent être soumises à la critique.

 

 

 

Alors que les cartésiens veulent partir de prémisses exactes de façon à arriver à la vérité, les pragmatistes qui mettent en cause la méthode par laquelle Descartes pense arriver à ces prémisses estiment que nous devons au contraire tester les croyances de façon à pouvoir à travers l'enquête et la discussion identifier et éliminer les erreurs. En ce sens, cette méthode présente des éléments de proximité avec la réfutabilité de Karl Popper. La méthode de Peirce pour examiner de façon scientifique les croyances, n'est ni totalement hypotéthico-déductive ni totalement inductive (empirisme). En effet à ces deux éléments qu'il revisite, il ajoute l'abduction (épistémologie)23.

 

Pour Pierce, toute enquête qu'elle porte sur les idées, les faits bruts, les normes ou les lois est provoquée par une observation surprenante. La structure du raisonnement abductif est donc du type « Le fait surprenant C est observé; mais si A était vrai, C irait de soi; il y a donc des raisons de soupçonner que A est vrai » 24 En 1903, Peirce énonce que le pragmatisme, "la logique de l'abduction"25 et souligne son efficacité. Pour lui, en effet, elle présente au moins deux avantages : (1), elle est « la seule espèce de raisonnement susceptible d'introduire des idées nouvelles » 24, elle pousse à tester la plausabilité de façon économique.

 

La phase de déduction comporte deux étapes: une étape explicative où, la déduction peut permettre de tester les prémisses et de les rendre ainsi en partie plus; une étape démonstrative où à partir de prémisses vraies on peut tirer des conclusions vraies grâce à un raisonnement logique26. Peirce utilise l'induction de façon assez novatrice. En effet, pour lui, elle « désigne plutôt la mise à l'épreuve des hypothèses, que celle-ci se termine par une confirmation ou une réfutation » alors qu'usuellement elle vise obtenir une loi ou une théorie27 c'est-à-dire qu'elle vise à établir ce que lui précisément teste.

 

 

 

 

Peirce à suite de Duns Scot, croit en l'existence d'universaux et pour lui, la pensée doit porter sur des objets réels28. Cela l'amène à s'opposer à la fois au réalisme métaphysique des platoniciens et au réductionnisme conceptuels des nominalistes. En effet, chez lui la réalité possède quelque chose d'irréductible, d'indéterminée de sorte que « ce n'est pas le particulier qui est le plus naturel, mais, le vague, le général, ces deux formes de l'indétermination réelle et irréductible ». Toutefois, comme chez les philosophes classiques et à l'inverse de William James, ll existe chez lui et chez une partie des philosophes pragmatiques, une réalité indépendante des recherches et des croyances. Il écrit à ce propos concernant la méthode scientifique dont il fait un des piliers de sa philosophie.

 

« son postulat fondamental traduit en langage ordinaire est celui-ci: il existe des réalités dont les caractères sont absolument indépendants des idées que nous pouvons en avoirN 4. »

 

Pour Pierce « le seul réalisme digne de ce nom est.. celui qui identifie le réel et le vrai » 29. il s'oppose sur ce point à ce qu'il nomme le nominalisme qui consiste pour lui chez John Locke par exemple à établir une différence entre « ce qu'il est possible de connaître (l'essence nominale) et ce qui échappe à la connaissance (l'essence réelle) »30. Le problème pour Peirce est de faire cohabiter une méthode de validation des croyances par réfutabilité qui insiste sur le caractère révisable des connaissances avec son réalisme. L'idée développée est celle que nous trouvons dans l'idée mathématique de limite : à la limite nous devons tendre vers la vérité31

 

 

James Wiliame parle non pas de vérité mais de théorie de la vérité32. Pour lui, le pragmatisme à la différence de Peirce est nominaliste et « fait constamment appel à des particuliers »4. James écrit

 

« Pour le pragmatiste pluraliste, la vérité prend naissance, et grandit, à l'intérieur même des données de l'expérience finie. Elles posent toutes les unes sur les autres; mais le tout qu'elles forment à supposer qu'elles en forment un, ne pose sur rien. Toutes nos « demeures » se trouvent dans l'expérience finie; mais cette dernière n'a, comme telle, « ni feu ni lieu ». Rien ne saurait, du dehors, assurer la destinée du flux de ses données: elle ne peut compter, pour son salut, que sur les promesses et les ressources qu'elle trouve en elle-mêmeN 5. »

 

Par rapport à Peirce, pour James la vérité n'est pas la propriété d'un énoncé, elle est beaucoup plus subjective plus liée à l'intérêt. James développe souvent l'idée selon laquelle « "le vrai" consiste simplement dans ce qui est ava

ntageux pour notre pensée N 6 »

 

L'AlLimages

De saveur chaude et piquante, son odeur est fade et pénétrante. C'est

elle qui passe dans les sécrétions.L'alcyne est la principale médication

qui fit nommer l'ail : roi des hypotensifs, mais, tous abus rendent 'l'ail

agressif, d'où, brûlures d'estomac, fièvres, cystites. A une 'gousse' par

jour se fixe la limite. ...

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Antiseptique, anthélémentique, antidiabétique et diurétique l'ail est le

le meilleur agent préventif, voire le meilleur préervatif face au choléra,

la diphtérie, la typhoïde. C'est donc, un précieux 'adjuvant' bactéricide.

qui doit se trouver dans le faitout. L'ail, qui préserve contre la toux fut

utilisé pour soigner la tuberculose. Contre les M. T. H., il s'impose. ...

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Avant Ambroise Paré, il était anobli, le stimulant des forces affaiblies. L'

Egypte l'élevait au rang de divini, c'est à  dire,  qu'il est la san, ce qu

le parfum de la rose pour traiter l'artériosclérose en faisant bouillir deux

gousses d'ail écrasées dans le contenu d'une tasse de lait. ...
index

Il faut manger l'ail cru ou cuit, si, l'on veut augmenter l'appétit, ou, pour

soigner les hémorroïdes et les diarrhées, pour que la circulation du sang

soit améliorée. Les rhumatisants trouveront leur remède La Lithine réna

-le et les calculs cèdent avec trois gousses d'ail en décoction dans 150 g.

de lait, après ébullition, qui ne doit pas dépasser deux minutes, filtrer et

boire tout de suite, cela pendant trois jours par semaineafin d'éviter les

brûlures que l'ail entraîne. Avec 20g. d'ail et une tasse d'eau, l'hyperten-

-du peut préparer un sirop, qui exige 20 mn d'ébullition, auxquels s'ajou

-tent 20 mn d'infusion, filtrer en pressant sur une passoire. Prendre une

cuillère à café à midi, l'autre le soir Ne jamais dépasser7 jours,voire sept

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nes A. B2 et C et divers antibiotique de la pharmacopée Une cuillère à mi

-di chaque jour, sans oublier le médecin, un précieux concours. ...

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