MES CONSTATS ( B )
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CONSTATS b
Dans l'attente de l'union sous un toit pendant
la journée, je languis de toi. La nuit, je te sou
-haite proche de moi, sans 'être vu' des tiens
faux bourgeois
Pour être plus proche de la jonquille, il a'admis
d'être l'enfermé, qu'elle lie. A ses ordres le fou
bel esclave obéit car l'Amour qui l'a soumis l'a
anobli.
L'Amour, qui monte est la noble tâche Celle
du liseron est l'habille qui cache sachant qu'
il meurt là, où il s'attache, il grimpe pour qu'
aucune ne l'arrache
Muet se retrouvera le méchant bavard, ne pou
-vant s'approprier un seul nénuphar. L'étang é
tant moins clair que les boulevards où les Don
Juan ont rué entre des brancards
La shariaa condamne l'erreur qu'on commet
avec une mineure, dont la 'pudeur' attire les
flatteurs qui se couvrent de déshonneur.
Mets ton âme dans le noir de tes yeux.
Résignée, tu peux lever ton front pieux
Grâce aux prosternations, louant Dieu
Qui ne satisfait que le servant miséreux
Dans l'univers chacun cherche et désire
la richesse, un nom, le son d'un sourire
la goutte d'eau, qui a irrigué le martyr,
de celui qui cessa d'expirer les soupirs.
Il ne faut rien 'haïr', l'humain doit aimer,
aux Lois divines il faudra s'y conformer
qui s'y consent, ne se trompera jamais
sans leurre, on est ici-bas mieux armé.
Dans les pâturages et branchages, les sou
pirs sont de gais rabâchages quand on ces
-sera d'utiliser les cages nous deviendrons
des êtres humains sages.
Vous avez l'attirance des rouges roses
En vos yeux, on y lisait tant de choses
Dont la lente larme des bonnes causes
La patience que l'amitié nous propose.
Avec un peu, le fellah rend grâce à Dieu,
'Poète', dans sa bicoque,il est l'heureux,
Qui a remercié souvent son *Bon* Dieu,
Lorsque de son'ciel'souvent'bleu'il pleut
Pour oublier la journée et ses peines,
Le 'soir le pauvre sort et se promène.
La vie'de son mini pré, qui'l'enchaîne
Fera de son lopin de terre un domaine
Comme, un *fou* au volant de sa voiture
Il tentait de rejoindre 'Zouzou' sa parure
Qu'une grave maladie chronique torture
La foule présente était mauvaise augure
A chacun son tour, ainsi est faite la vie
Qui nuit l'ennemi qu'on croyait bon ami
Sans émettre les bruits, qu'il a produit,
Ne vous réjouissez pas de ses ennuis.
En aimant et craignant 'Allah', l'Absolu,
Il a aimé cet infirmière pour sa retenue
Qui se sentait libre en sa 'sainte' tenue
Qui l'a éloignée des *mœurs*'dissolues
L'almanach fut le "calendrier"magnifique
Qui rappelait aux jeunes filles la'pratique
Quand les dames étaient apolitiques. La
politique le job rend fanatique
Je t'en prie,'calme-toi', sèche tes yeux
Réjouis-toi, je suis le 'battant heureux
Face à ceux, qui nouaient des nœuds.
Pour trembler, vivre et mourir en*eux*
Ta langue s'est déliée ainsi que ton esprit
Hurle chante à tue tête enseigne, vit, prie
Avec'les'citoyennes'qui'embellirent'le'pays
Aux libérées autonomes, tu t'es unie.
N'incorpore au peuple des idées immondes qui
t'excluront des rassemblements, qui grondent.'
Avec plus de clarté, tu pourras saisir le monde
comme l'ontinfluencée les frigides blondes.
SOIT
Le mot, c'est le Verbe et le Verbe, c'est DIeu
Qui est esprit, vie, don, vertu et feu A toi d'ac
-cepter, ce que ton corps peut, car *Allah*, le
Décideur fait ce qu'Il veut.
Le mot OUI est responsable de ce, qui rend
redevable De leurs lèvres leurs avis étaient
agréables De leur promesse tu as reçu l'im
-palpable qui ne rend pas l'être charitable.
Tourmenteurs, crétins, soyez maudits,
Car, vous êtes des envieux engourdis,
Qui prêchent avec des mots interdits
transformant l'Enfer en doux Paradis.
Le souhait à leurs filles est valable aux
brus, généralemrnt, c'est par une ruade
imprévue que le paysan comprend l'âne
et son refus. Pour lui, c'est par l'âne que
l'âne sera revendu.
Le paysan, qui était reconnu autonome
Se comptait, parmi les réels économes
Qui ont rénové leurs*logis* en chaume.
En habitats, que 'méritent' les hommes.
Les ex-commères viendront t'espionner
Afin de pouvoir 'te' tirer les vers du nez
A ta belle-mère, rapporte leurs données
Pour qu'elles cessent de t'empoisonner
Dérobées ont toujours été les jolies brus
Par la belle-mère Fahima sera l'inconnue
Qui passait son temps dans les avenues
Où, des enthousiastes l'auraient connue
Fais connaître à l'associer ce qui est
rude que tu as ressenti lors ta premiè
re étude. Il faut lui communiquer tes
inquiétudes, tout en vantant ce qui se
-ra belle habitude.
De ce, qui lui reste,l'émigré, fort satisfait
N'a pas cru avoir obtenu l'enchantée fée
Sans arrosage, la rose n'a pas triomphé
En lui offrant : belle chevelure décoiffée
La femme qui utilisera son charme
Ne versera jamais la "lente" larme.
Celle, qui saura créer des drames,
Ressemblera à l'ânesse,qui brame.
Elle servira et fera ce qu'elle avait pu
Quand, heureuse son âme avait vécu.
Dans son cœur mort, elle fut vaincue,
Quand, son compagnon avait disparu.
L'estime est souvent rendue par l'orphe
lin Contraire sera le produit du fils du Ma
lin Qui en *grandissant* recherchera les
siens, Qui verront en lui, l'augmentation
de leurs biens
UN MOMENT AVEC LE MAÎTRE DU LUTH
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