TIDJANIA
C'est dans une zaouia que l'émir Abd-El-Ka
-der vit le jour et'c'est de là, qu'avait décou
-lé'sa bravoure. L'influent lobby demeure la
franc-maçonnerie, qu'il na jamais cessé de
combattre pour son culte venu de l'Arabie.
Le'mensonge'lui a'fait adorer le Un'en'trois
qu'est'la trinité que les'légions'de'l'Europe
n'avait pas pu imposer'à'ce débonnaire et
'que la France n'a pu implanter naguère.
La confiance n'était point un leurre La dé
-fense se'trouvait ailleurs'où l'emir'connut
des jaloux'où il ne'pouvaient'pas'redonner
les coups qu'il rompit après'15'années de
feu à la tête des heureux qui se découvri
-rent*gueux*après avoir été les vaillants
combattants pleins de foi'et'pour'qui l'Al
-gérie était leur toit contre des généraux
qui ne résistaient pas plus de onze mois,
en leurs bercails ramenés sans grade ni
médailles. ...
Ahmed ben Mahieddine, le jeune frère cita l'origi
-ne étrangère d'Ahmed Bey, qui parut rebelle,'en
y rejetant l'accord avec Desmichel,en taxant de
lune de miel ce qui rendit le Duc'd'Aumal comblé
de'zèle'car pour le'Bey,'l'Emir'et'le'général étaient
sur la'même voie en parfait accord pour occuper
le constantinois.
L'intoxication qui parcourait l'Est était conte
-stait par les combattants de l'Ouest. Les po
-pulation dénigraient l'offense, de'cette pro
pagande qui'fut répandue'par'la'France'pour
qui le*Bey était le plus entêté au retour des
ottomans.
Le bey Ahmed était trompé par son entourage,
y compris par Bengana qui assurait le patrona
-ge'de la zaouia des Tidjani qui fut berné par le
faux converti Léon Roches qui était muni de la
fausse fattoua en faveur d'un prortecorat,qui n'
a jamais été sollicité ce que Senouci a déontré
Seul, Senouci rejetait cette Ordonnance l'Algérie
n'ayant pas sollicité une 'défense', d'où raison de
combattre la France au regard des janissaires vu
leur absence en cette honorable résistance. (Le ly-
-bien Senouci est d'origine algérien) Léon Roches qui avait ac
-cusé de joug la Turquie ne pouvait point tromper
Senouci. ...
Ahmed jeune frère de l'Emir a cité des tribus et
ses 3 frères rivés à un salaire de misère pour ne
débiter que le contraire pour paraître plus ottho
-mans que l'ensembe des otthomans. ...
Comparés à 'Ben Allal', ces trois frères étaient
absents'Collaborateurs,'ils s'accochaient à une
pension. L'Emir était le plus muni, car il demeu
-rait l'ennemi ne le reconnaissant que lui. Il par
-targeait la pension allouée, par les otthomans
entre les nécessiteux étudiants'Celle attribuée
par l'usurpateur de son *Etat* appartenait a la
Smala qui l'avait suivi qui en leur Algérie se dé
-plaçait avec des caisses leines d'or, qui appar
-tenaient aux algériens'et'aux dames qui furent
dépouillée'de'leurs biensAvec ce qu'il avait per
-cevait,'il achatait des domaines afin de recom
-penser ses compagnons de leurs*peines*, éloi
-gnés de leur patrie que la France nomma Algé-
-rie. ...
Au cours d'une émission télévisée,le PDG de la Tidjania a dé
-fendu son aïeul, accusé Son intervention s'adressait aux gé
-rants'et principalement aux sympathisants,tout en étant op
posé à tout prix à la posséssion d'un manuscrit concernant
le mariage d'Aurélie, béni par le cardinal Lavigerie.
Condamnable, vu sa fuite à'Bel Abbes, qui' l'a rendue
en baisse. D'elle-même, elle s'est mise à l'écart, cloÏ-
-trée, loin des furtifs regards. Indéfendable elle a été
ramenée par l'armée pour épouser son 'beau frère(1)
faire taire les bavards Sa protection était illusoire au
prèst des perdants, sans espoirs, ébahis par l'Emir, l'il
-lustre *rebelle* qui était sans armée professionnelle.
(1)Ahmed Tidjani
(1)Ahmed Tidjani