TAUREADOR

              

  

TAUREADOR, LE THAURYADOUR 

   

       Tauréador, picador

Il n'y a rien d'extraordinaire, dans les arènes san

guinaires, où, le toréador, tout couvert 'd'or' a sé-

 la peur de la mort, en face du taureau en fureur,

qui défend son honneur contre quatre banderille

-ros

 

qui pour assister les picarderos, plantent leurs 'bande

rilles sans mettre leur vie en péril qui énervent et bles

-sent le taureau, qui se dresse et qui soulève la poussi

ère, en raclant le dur parterre.

 
Tout noir, voit le torero.Tout rouge voit le taureau.

       

Lassé par les pics des picadors, l'animal sue avec le

picador, qui est la dame qu'on adore une brune qu'at

tire son joli corps. Cette beauté descend de son che-

-val et achève l'animal.
 Aréne (boucherie)
Haut en couleurs, sang et or et fort applaudi est le to

-réador. Sùr de lui, il va y avec orgueil vers le taureau

couleur de deuil. Sous les vivats des 'civilisés, qui ne

viennent que pour se griseren cette immense bouche

-rie, où on chante, on siffle et on crie.

Pour remercier ses amateurs, avec des gestes de sei

-gneur, l'agile toréador recommence tout ce, qui lui a

paru exigence dont les passes de cape qui plaisent à

ses fans assis sur la braise et qui chantent la victoire

qu'ils souhaiteraient revoir avant de terminer la mule

-ta, qui fait frémir les nanas
 MCourbettes      Mule
Après les courbettes et le tour d'honneur, il ramasse

les fleurs. A Mule le bouquet a été offert pour ne pas

dénoncer le sévère ce torero au cœur de pierre face à

un taureau sans supporter.

On a inventé des rites au Cid, pour le combat stupide

qui fait du beau géniteur, le plus mauvais des gladia-

-teurs.
  A bentôt loin des corridas  

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