17 février 2012
LES MIS CONFIANTS
LA CONFIANCE
Des Hauts Plateaux nous venaient des sportifs
qui fuyaient la rénommée Sétif On comptait par
mi eux Oucissa que certains nommaient Boucis
sa qui joignit les glorieux de le célèbre : BCMA,
où il avait brillé avec plus d'éclat.
Lévi = Yvel
Afin qu'il puisse quitter l'anonymat, face à Yvel on le
fit boxé. La victoire de *Lévy* qui, par le public a été
contestée a fait du Sétifien un chéri, qu'Alger avait a
-dopté. Les algérois avaient exigé la 'revanche', reje-
-tée par Yvel, qui venait d'une autre branche; Ce gail
-lard refusait de se faire des ennemis. C'est ce qu'on
avait compris, à Khemis Mallyana, en participant bé-
-névolement à un gala. au profit de l'école des élèves
affamés, leur cantine allait fermer. ...
On eut recours à Théo Médina sunommé khitano con
-nu par ses courts combats. " Courageux", Oucissa a
-vait accepté la gageur, contre un rapide assommeur
Oucissa se retrouva renversé, les gants à peine croi
sés avec ce gitan qui n'avait point boxé Tout le mon
de fut indéterminé On s'attendait à un duel affiné en
liaison aux places acquitées pour assister à un spec
-tacle de qualité. Théo appliquait la mise en confian
-ce, afin de mettre K.O. la méfiance, du vis-à-vis, qui
voyait sa victoire.
Le tunisien Hadi Tidjani, qui ne voulait pas y croire, a
renversé la vapeur, en battant ce cruel boxeur.
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