LE PARDON
Tu es jeune et tu en veux aux jeunes. Le dernier d'entre est
le beau, le sans gêne, comme le *Diable*, qui vous entraîne,
pareil au vent qui secoue l'arbre sans peine.
Telle fut et sera la fourberie urbaine et le monde, où tout
le monde se plaint, assommé par le bruit des forains.
Cloîtrée, tu devras pétrir ton pain.
Le pardon est accordé par le Saint des saints, si on ne
quitte pas le droit chemin. Tu m'as donné les plus gros
gains pour enseigner à d'autres les moyens divins.
En tout temps, le pêché a été permis, 'que suggère le
poursuivant maudit,vers le rire, la luxure et la mal ac
-quis, sachant que l'arbre finit par céder son 'produit.
Fais-toi l'ascéte pour fuir ta périphéirie toi qui appar
-tenait à la la paysannerie.
Femme, ce fellah ne sera pas un mari, car les jeunes
sont par l'ignorance pourris, reprochant aux parents
de n'avoir pas été instruits Grâce à qui, le sont-ils, é
- tant pourris, ils sont inutiles.
Pour ta présentation, je te remercie, car elle m'a per
-mis d'éduquer mes amis pour être reçus par le Béni