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22 décembre 2013

;LE COUSIN SIDI M'HAMED

..

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chahada

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n076

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bismallah


KOBUS

KOBUS

Le Bureau des études et liaisons avait cru

avoir trouvé la bonne solution en jetant au

sein du FLN. la confusion, en diffusant des

faux rapports faux tracs et d'autres strata

-gèmes pour'mettre'en place les harkas du

bachaga Boualèm que dirigeait Belhadj Dji

lali, dit *Kobus*, qui'en'1950 avait perdu sa

tête en vendant les membres'de l’Organisa

-tion Secrète LE COUSIN SIDI M'HAMED

BOUGAR

Avec l’appui du francophile bachaga,'il put

engager des analphabètes, dans'la force K

qu’il faisait passer pour F.L.N. ennemi juré

du M.N.A Sa 'tête fut ramenée dans un sac

par ses''gars à'l’enfant de'Khemis Mallyana

le chef prestigieux Bougara, qui grâce aux

étudiants,'réalisa'l'encadrement exception

-nel,nvu leur *supériorité 'intellectuelle* et

que sans 'titre"'nul être humain ne se'perd

tant que tout le monde demeure nécessai

-re, mais'que'personne'n’est'indispensable  

compris 'celui, qui porte des 'galons, s'il n'

est pas agréable. ...                        Sa mère se nommait Fafa

BACHAGA

'Djilali n'était qu'un pion, un objet. De 'Mati

-gnon, Boualem recevait le pognon, un bud

-get, qui pouvait être connu de tout le mon

de, sans mettre en danger K l'immonde, ta

-xé de bleu, qui ne vaut que peu, un oiseau

à la tête vide, qui n'a rien de lucide. ...

ABANE

Envoyé pour faire sa connaissance Abane

Ramadhane a reconnu son ignorance, con

cernant'l’armement et'le code'militaire'que

possédait' ce jeune- révolutionnaire, en

racontant, ce suit : « Je 'fus 'dans 'l’impos

-sibilité de reconnaitre le chef'de'ces'3 ka

-tibas. Je dormis avec elles,'sans que ma

curiosité soit satisfaite. Le lendemain au

réveil le commando au grand complet pré

senta les armes'à celui'qui'avait'refusé'de'

partager ma 'petite natte avait'préféré'se

coucher'à même le sol ce fut ainsi que je

connus le Colonel Si M’hamed. »

BOUGA

Apres la satisfaisante visite-inspection il

reçut de Tizi Ouzou  son invitation au Con

-grès'de la'Soummam'dont'les résolutions

avaient'donné une'véritable'armature'poli

-tique au'front'de'la libération. 'C’est d'au

-tre 'chose', 'qu’ont' fait 'croire des''assoif

-fés qui ne s’accrochaient qu'au pouvoir

Au chef de la wilaya 03 au tempérament

fougueux et aux *décisions expéditives*

pour peu, Si M’hamed, qui s’était opposé

l’avait raisonné'pour ne'point rapidement'

châtier, même'si,'les griefs sont justifiés

*l’erreur*, qui est commise par un volon

taire pour qui au pays la mort est néces

-saire et mieux, afin de ne pas révéler à

l’ennemi'les'dissensions'existantes'entre

le'GPRA et une résolution.

histoire

L’Histoire des Hommes, qui avaient réel

lement porté'' la'Révolution ne profita qu

a ceux,'qui' s’accrochaient à leur satisfa

-ction, les opposés à l’enseigner en des

manuels'scolaires, alors, qu'on'lit le con

traire de qui est aux pieds noirs une fau

-te lue dans « Le torrent et la digue » en

ce paragraphe : «...., à l’heure où l’on se

plait à dire que la rébellion perdit la par

tie, parce qu’elle est étranglée'aux 'fron

tières'tunisiennes et marocaines parce

qu'incontestablement el'djoundi souffre

dans le maquis,"physiquement" et "mo-

-ralement ", nous 'assistons 'à 'un phéno

mène déconcertant au "beau milieu"du

territoire algérien la Wilaya 04 fait mon

-trer une vitalité et un'dynamisme extra

-ordinaires,' qui 's’est''toujours singulari-

-sée par'rapport aux'autres wilayas cela

a tenu à la 'personnalité rayonnante' du

colonel Si M’Hamed'véritable'chef' de ma

-quis Grâce à lui, la'*flamme révolution*

naire brûle à la Wilaya 4, une révolution

qui se veut pure et qui s’affermit même

par 'opposition'''à un''relâchement'relatif

dans les autres wilayas. L’ennemi 'con

-traint et forcé' savait reconnaitre'la'va

-leur'des hommes ce qui a expliqué son

acharnement à mettre en 'œuvre', pour

les "abattre" y compris par les moyens

occultes, le complot de l’opération K, … »

 

*K*ne signifiait que 'Kobus' ni moins ni

 plus. ...

BAIN

Respectueux des règles démocratiques

Si M’Hamed devint fin politique. Cela ne

fut pas'en une universi qui n’enseigne

qu’une facul, cela fut avant la 'Révolu

tion dans les monts de Hammam'El'Wan'

qui'portent'son nom'C’est'parce'qu’il pos

-sédait d’incontestables qualités humai

nes, raison de pouvoir endosser les pei

-nes des 'paralysés' par la gène, en s'y

comparant à eux. 'Colonisé' il ne valait

pas mieux. Homme, il fut leur égal dans

la faim en saison hivernal loin'des'gran

ALIMENTATION

des 'agglomérations', facilitant 'une sin

-ulière alimentation. Il ne fallait pas se

laisser 'aller il fallait se débrouiller, les

frontières étant *verrouillées* les déci

-sions du congrès furent refoulées, tel

-le fut 'une des 'raisons, de ne pas met

tre en application'les'décisions'(du'con

-grès qui a été débouté, Il préfèra plus

tôt se taire, pour 'hausser la 'gloire 'du

'frère', qui passait pour l'imbattable n'

ayant reçu la tête de 'Kobus', l'ingué-

-rissable . ...                     Belouni l'Educateur

BALOUNI

Au regard des rapides 'voies', Mahfoud

Belouni ajouta sa voix pour rappeler le

cousin 'Ahmed Bougara', qu'il rejoigna

dans le combat, le*survivant*, qui s'en

alla refaire sa vie hors de'Khemis'Maly

iana n'ayant trouvé l'amour et l'amit

Pour l'entendre utilisez voutre clavier

C’est ce, que les 'jeunes' de toutes gé

-nérations doivent savoir sur ce que A

fut la véridique histoire, ,,,   Ecole de la Pauvreté

vieux

Auprès des pauvres, l’universitaire a

été éton de ce, qu’il apprenait, car

l’enseignement reçu 'dans l’école de

la pauvre n’était dispensé en aucu

ne universi par l’illettré il fut gui

grâce aux conseils qui lui été recom

-man. ...

coran

Dans la wilaya *04* ne régnait entre

les djounouds et les officiers le cou-

-de à coude dans un esprit démocra

tique et fraternel dans la 'Foi' vouée

a l'Eternel, en une discipline consen

-tie librement, discutée et expliquée

des chefs fort galants sans titres ni

galons à la pointe du *combat* leur

canon (qanoune). ...            Prière des djounouds

prière

Si M’hamed, qui était profondément

croyant, était autant tolérant respe

-ctueux de ceux, qui n’ effectuaient

pas la prière, régulièrement ou quo

tidiennement. ...

kaicité

Laïcité n'était point un mot courant

celui d'interdiction était utilisé sou

vent, afin que soit ignoréé la laïci

qui réclame plus de liber.

af2cc9ad_1    A BIENTÖTin cha lah

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A
Abane ramdane est un grand traitre.
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