;LE COUSIN SIDI M'HAMED
..
Le Bureau des études et liaisons avait cru
avoir trouvé la bonne solution en jetant au
sein du FLN. la confusion, en diffusant des
faux rapports faux tracs et d'autres strata
-gèmes pour'mettre'en place les harkas du
bachaga Boualèm que dirigeait Belhadj Dji
lali, dit *Kobus*, qui'en'1950 avait perdu sa
tête en vendant les membres'de l’Organisa
-tion Secrète LE COUSIN SIDI M'HAMED
Avec l’appui du francophile bachaga,'il put
engager des analphabètes, dans'la force K
qu’il faisait passer pour F.L.N. ennemi juré
du M.N.A Sa 'tête fut ramenée dans un sac
par ses''gars à'l’enfant de'Khemis Mallyana
le chef prestigieux Bougara, qui grâce aux
étudiants,'réalisa'l'encadrement exception
-nel,nvu leur *supériorité 'intellectuelle* et
que sans 'titre"'nul être humain ne se'perd
tant que tout le monde demeure nécessai
-re, mais'que'personne'n’est'indispensable
compris 'celui, qui porte des 'galons, s'il n'
est pas agréable. ... Sa mère se nommait Fafa
'Djilali n'était qu'un pion, un objet. De 'Mati
-gnon, Boualem recevait le pognon, un bud
-get, qui pouvait être connu de tout le mon
de, sans mettre en danger K l'immonde, ta
-xé de bleu, qui ne vaut que peu, un oiseau
à la tête vide, qui n'a rien de lucide. ...
Envoyé pour faire sa connaissance Abane
Ramadhane a reconnu son ignorance, con
cernant'l’armement et'le code'militaire'que
possédait' ce jeune-né révolutionnaire, en
racontant, ce suit : « Je 'fus 'dans 'l’impos
-sibilité de reconnaitre le chef'de'ces'3 ka
-tibas. Je dormis avec elles,'sans que ma
curiosité soit satisfaite. Le lendemain au
réveil le commando au grand complet pré
senta les armes'à celui'qui'avait'refusé'de'
partager ma 'petite natte avait'préféré'se
coucher'à même le sol ce fut ainsi que je
connus le Colonel Si M’hamed. »
Apres la satisfaisante visite-inspection il
reçut de Tizi Ouzou son invitation au Con
-grès'de la'Soummam'dont'les résolutions
avaient'donné une'véritable'armature'poli
-tique au'front'de'la libération. 'C’est d'au
-tre 'chose', 'qu’ont' fait 'croire des''assoif
-fés qui ne s’accrochaient qu'au pouvoir.
Au chef de la wilaya 03 au tempérament
fougueux et aux *décisions expéditives*
pour peu, Si M’hamed, qui s’était opposé
l’avait raisonné'pour ne'point rapidement'
châtier, même'si,'les griefs sont justifiés
*l’erreur*, qui est commise par un volon
taire pour qui au pays la mort est néces
-saire et mieux, afin de ne pas révéler à
l’ennemi'les'dissensions'existantes'entre
le'GPRA et une résolution. …
L’Histoire des Hommes, qui avaient réel
lement porté'' la'Révolution ne profita qu
a ceux,'qui' s’accrochaient à leur satisfa
-ction, les opposés à l’enseigner en des
manuels'scolaires, alors, qu'on'lit le con
traire de qui est aux pieds noirs une fau
-te lue dans « Le torrent et la digue » en
ce paragraphe : «...., à l’heure où l’on se
plait à dire que la rébellion perdit la par
tie, parce qu’elle est étranglée'aux 'fron
tières'tunisiennes et marocaines parce
qu'incontestablement el'djoundi souffre
dans le maquis,"physiquement" et "mo-
-ralement ", nous 'assistons 'à 'un phéno
mène déconcertant au "beau milieu"du
territoire algérien la Wilaya 04 fait mon
-trer une vitalité et un'dynamisme extra
-ordinaires,' qui 's’est''toujours singulari-
-sée par'rapport aux'autres wilayas cela
a tenu à la 'personnalité rayonnante' du
colonel Si M’Hamed'véritable'chef' de ma
-quis Grâce à lui, la'*flamme révolution*
naire brûle à la Wilaya 4, une révolution
qui se veut pure et qui s’affermit même
par 'opposition'''à un''relâchement'relatif
dans les autres wilayas. L’ennemi 'con
-traint et forcé' savait reconnaitre'la'va
-leur'des hommes ce qui a expliqué son
acharnement à mettre en 'œuvre', pour
les "abattre" y compris par les moyens
occultes, le complot de l’opération K, … »
*K*ne signifiait que 'Kobus' ni moins ni
plus. ...
Respectueux des règles démocratiques
Si M’Hamed devint fin politique. Cela ne
fut pas'en une université qui n’enseigne
qu’une faculté, cela fut avant la 'Révolu
tion dans les monts de Hammam'El'Wan'
qui'portent'son nom'C’est'parce'qu’il pos
-sédait d’incontestables qualités humai
nes, raison de pouvoir endosser les pei
-nes des 'paralysés' par la gène, en s'y
comparant à eux. 'Colonisé' il ne valait
pas mieux. Homme, il fut leur égal dans
la faim en saison hivernal loin'des'gran
des 'agglomérations', facilitant 'une sin
-ulière alimentation. Il ne fallait pas se
laisser 'aller il fallait se débrouiller, les
frontières étant *verrouillées* les déci
-sions du congrès furent refoulées, tel
-le fut 'une des 'raisons, de ne pas met
tre en application'les'décisions'(du'con
-grès qui a été débouté, Il préfèra plus
tôt se taire, pour 'hausser la 'gloire 'du
'frère', qui passait pour l'imbattable n'
ayant reçu la tête de 'Kobus', l'ingué-
-rissable . ... Belouni l'Educateur
Au regard des rapides 'voies', Mahfoud
Belouni ajouta sa voix pour rappeler le
cousin 'Ahmed Bougara', qu'il rejoigna
dans le combat, le*survivant*, qui s'en
alla refaire sa vie hors de'Khemis'Maly
iana n'ayant trouvé l'amour et l'amitié
Pour l'entendre utilisez voutre clavier
C’est ce, que les 'jeunes' de toutes gé
-nérations doivent savoir sur ce que A
fut la véridique histoire, ,,, Ecole de la Pauvreté
Auprès des pauvres, l’universitaire a
été étonné de ce, qu’il apprenait, car
l’enseignement reçu 'dans l’école de
la pauvreté n’était dispensé en aucu
ne université par l’illettré il fut guidé
grâce aux conseils qui lui été recom
-mandé. ...
Dans la wilaya *04* ne régnait entre
les djounouds et les officiers le cou-
-de à coude dans un esprit démocra
tique et fraternel dans la 'Foi' vouée
a l'Eternel, en une discipline consen
-tie librement, discutée et expliquée
des chefs fort galants sans titres ni
galons à la pointe du *combat* leur
canon (qanoune). ... Prière des djounouds
Si M’hamed, qui était profondément
croyant, était autant tolérant respe
-ctueux de ceux, qui n’ effectuaient
pas la prière, régulièrement ou quo
tidiennement. ...
Laïcité n'était point un mot courant
celui d'interdiction était utilisé sou
vent, afin que soit ignoréé la laïcité
qui réclame plus de liberté. …