Charia الشَّرِيعَة
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الشَّرِيعَة
Charia
Le terme charia fait référence à un chemin
clair'et'droit'qui mène vers'un'endroit'qui'est
irrigué où les êtres humains'et les animaux
viennent boire à condition que la source d’
eau soit un ruisseau ou une rivière en mou
-vement''Ce terme est la voie menant vers
Allah'tout'musulman'dans'le'sens'de'croyant
soumis au*Tout Puissant*dont les lois que
dicte le St Coran'La Cour constitutionnelle
reconnaît que la*Charia*reflète'fidèlement
les dogmes'et'les règles divines'prescrites
par le Tout Pardonnant et que ces lois pré
-sentent un caractère stable et invariable,
mais que lui sont étrangers des principes,
tels'que'le'pluralisme dans la participation
politiqueou l’évolution'incessante'des liber
-tés publiques'La Cour relève que, lues con
-jointement et totalement différent les déc
-larations en question,qui contiennent des
références qui expliquent'l’instauration de
la Charia étant sans réplique'difficilement
compatibles avec les principes fondamen
-taux de la démocratie'tels qu’ils résultent
de la Convention y compris et qu’il est dif
-ficile'de'se déclarer respectueux de la dé
-mocratie et des droits de l’homme,'car la
Charia qui est autonome,'se démarque de
la Convention,notamment en égard à ses
règles de en son intervention, en tous do
-maines de la’vie privée’et’publique'confor
-mément aux normes religieuses'('non'poli
-tique ) . ...
Dans son sens le plus large la charia est la
bienfaisance'sa digne référence'en tant que
système éthique'et'mystique'étant un systè
-me qui se rapporte'à'l'Islam qui est dans le
livre de lois fondées sur les sources classi
-ques'que sont le Coran,'la Sunna et hadiths
( les propos prophétiques )'Aux musulmans
la charia est la plus démocratique,'sachant
qu'ils'admettent'toutes'les'critiques,'mais'to
-talement opposée'aux'dénigrements'car ils
n’ont aucun clergé'du fait que'les'autres cul
-tes ne condamnent pas l'Islam, mais ceux
qui'le professe devenus majorité rapelltent
la lapidation des adultérins chez les musul
-mans'fut'une'pratique'de'la*'Grèce*antique
puis réapparue comme peine prévue par la
loi'deutéronomique'bien’que’la'jurisprudence
a eu tendance à réduire l'application de tel
-les peines'L'amputation de la main d'un vo
-leur fut une influence, des usages dans la
cité romainne,'où ce'châtiment était prévu
pour les faux monnayeurs.'Les châtiments
corporels'islamiques sont une légalisation
officielle'de'moyens'd'expiation'des'péchés
individuels ou collectifs permettant de cor
-riger dans le monde chrétien les pénitents
Ainsi que la flagellation'après un péché,ce
la devint dans le Coran un usage systéma
-tique Ce qui fui dans l'empire romain héré
-tique. Il y eut des cas, où la foule lapidait
les criminels dans un mouvement collectif
spontané. Par Papon, la lapidation ont été
provoquées.
Le Coran et les hadiths sont les 2 sources
les'plus'importantes'acceptées'par'l’ensem
-ble de la communauté'L’ijma'et'le'qiyas'ne
sont pas hélas reconnues par les iraniens
pourvus d’un clergé. ...
Les courants sunnites majoritaires, qui se
sont transformés en écoles juridiques sont
le malékisme,'le hanafismee,'le chaféisme'et
le'hanbalisme'Chez'les'iraniens'ces'courants
sont le jafarisme et le pape du zaïdisme. ...
Il est inexact de penser que la charia est i
-nerte et immuable Elle évolue en fonction
des changements de conjonctures diploma
-tiques'et'sociologiques'sans'être'contrainte
à la stagnation C’est XIX°que débuta la mo
-dernisation,
La plupart'des'États musulmans'ont'créé'des
système'judiciaires'séculaires'et'centralisés
plus ou moins empruntés'aux *occidentaux*
pour quelques cas, adoptés.
Du IIIe siècle et du XXe siècle l’évolution de
la place de la charia mena'à'une redéfinition
des relations'entre la charia de l’État musul
-man'et la majorité des croyants.'Cette rené
-gociation n’a'pas mis'en'danger la charia en
ses'institutions'n'avait'visé qu’à'contenir'son
champ'd’action'comme le montra la'création
des'tribunaux'chargés'des'affaires'personnel
-les'soumises aux loisconstitutionnelle'avec
l’accord des juristes et des islamistes'qui a
-vaient'en'1936'vu'une'approche'plus'positive
qui fut en Egypte'une reconnaissance'défini
-tive'permettant un pouvoir plus grand 'en é
-tant'soumis'au'Tout'Puissant'qui'exige'le'pro
-fession de Foi,'la Prière,'la Charité,'le'Rama
-dan'et'si'possible'le'pèlerinage'dans'la'pénin
-sule'des'musulmans'La charia'règle'révélée
permet'à'produire'2'formulations'lla connais
-sance'de la loi (al'hukm)et'la fatoua(fatwa)
Le Hukm est*Règle ou Ordonnance*qui dé
-coulent d’un jugement'rendu par un*Cadi*
qui est l’autorité,'vers laquelle'tous les mu
--sulmans'se'tournent pour qu’un jugement
conforme à la charia qui signifie retenir'et
surtout avertir. ...
La fatwa est un avis juridique,où le*cadi*
fait appel à un mufti, ce que fut khomeini
'à'l'encontre'de'l'écrivain Salman Rushdie
'après la' publication de son ouvrage'dému
-ni de tout hommage'et vu son haï tord'fut
condamné de menace de mort.Pour les ju
-ristes musulmans en majorité, c’est dans
leur pays que'la'charia peut être appliquée
'car le droit*pénal*qui'en'découle est appli
-cable'aux auteurs d'une*infraction*'quelle
'que soit leur religion.'Aux gens du Livre'et
dhimmis'de'l'assuré,'mais'pas'à'un'étranger
passager pouvant être condamné'pour cer
-taines infractions contre le droit divin, d’
où expulsion. ...
Le repentir de l’auteur ne permet d’éviter
l’application'des peines prévues, pour les
différentes infractions. Les visés par une
atteinte un*droit*en matière de talion qui
pouvaient se désister''Par la charia l’amni
-stie n’est pas citée, mais il faut rappeler
le'Calife'Omar qui a'écarté'l’amputation de
la main des voleurs en période de disette
n’étant point ère parfaite'Il n’avait pas at
-tendu le XIX°siecle pour interdire'les pei
-nes corporelles affreux souvenir'en pays
'ayant arraché leur*libération*en'utilisant
des révolutions.
Plusieurs passages du St Coran comman
-dent de tenir'compte'des'*mœurs*et non
du'cœur'ce qui concerne le cas de l'escla
-vage,'le Saint'Coran commande'd'utiliser
une partie du'budget'de l'État'de'l'émanci
pation de ceux-ci qui sont'à'sa merci'Il ne
commande pas d'asservir *systématique de'guerre en un'esc
-lavage qui est laissé'au choix à des diri
-geants'dignes musulmans, d'où l'idée de
caducité qui fut perçue de différentes fa
-çons'en fonction'des'grilles'de'lecture.'...
À Mayotte(département d'outre mer) fran
-çais depuis le mois d'avril "2011"'dont la
population'est'à'95% de confession musul
mane,'la laîcité était fondée sur un princi
-pe similaire'à'celui des régions concorda
-taires'et'des'éléments de droit musulman
étaient intégrés au *droit* français. Néan
-moins'le'droit'commun'est certes'entré'en
vigueur'et'le cadi ne'dispose'plus'd'un pou
voir judiciaire mais d'un pouvoir'de'média
-tion ne faisant point la paire.'La*religion*
est cependant un élément nécessaire'à'la
vie des mahorais qui ne se sentent point
honorés. ...
Après Ces Explications Êtes-Vous Toujours Effrayés Par La Lois Islamique ? [Chari'aa]