MES CONSTATS ( A )
CONSTATS
Pour son oeuvre, Khyam fut couvert de gloire
par des faussaires, faiseurs d'histoires afin d'
en faire un 'musulman contradictoire' qui prê
-che les bienfaits de l'interdit pinard.
Lors de la nudité'qui impose on devient cou
-turière.'De glaneuse,'meunière,'les mères é
-taient boulangères. A leurs époux handica
-pés, certaines étaient des nourricières. De
ces dames, les méchetas en étaient fières.
Chômage et crise de logements expliquent
que nos sœurs ne sont pas des bourriques.
En privant la trique elles seraient cyniques
Avec l'indépendance réussie tout s'indique
Intique s'est traduit par beau voire authen
-tique, dont les 'Mouaalaqattes''relatant le
romantique, un 'charme','qui lie les littérai
-res et les critiques, pour qui, l'intik est le
notable et le sympathique.
L'homme laissa après lui ce, qu'on mérite. Le
fer et l'acier n'existaient pas en Egypte. Avec
le cuivre, on ne sciait pas 'le granit Le caillou
sculptait grâce au premier artiste
De Tanger au *Caire*, en passant par Alger
Les émigrés se sentaient en pays étranger.
Pour le progrès, ces pays se sont engagés.
On ne croit plus à tout ce qui a été propagé
Là, où, s'arrête le bus, rien n'est défendu.
Les enseignes en *arabe* ont disparu A l'
européenne, les algériennes sont vêtues.
C'est à croire que les colons sont revenus
Que reproche-t-on ''aux'pays du soleil " ?
L'été algérien est une*nouvelle*merveille
Toute la nuit on s'en met plein'les'oreilles
Sur les plages bronzent les'belles'rebelles
A Alger on ne montrais qu'un œil puis deux
Et ce au temps du 'colonialisme' crapuleux
A Oran, Eve exhibait un visage malheureux
Paris empêche de masquer l'ombrageux.
Comme Antara, qui avait défendu sa tribu, son
concurrent n'était point un parvenu. C'est pour
Zineb, que le digne fils est revenu Souhaitez au
libre Mouhiaddine la bienvenue.
Par Sidi Ali, éblouie a été la troublante Samia
que les coureurs avaient nommé Fantasia que
les mères du coin elle a leur Houria, au regard
des audacieux qu'elle repoussa.
Ils se marièrent et eurent beaucoup d'en
-fants. Ainsi que se terminent tous les ro
-mans. Le mari de ...F... a été son unique
agréable amant, car Ghalou était de tout
temps en déplacement.
Jette un galet à l'arbre, il te donnera ses fruits.
Tel était l'ami qu'elle avait fuit et qui fut son se
-cond mari *pour la vie*'sans vouloir refaire une
autre vie après lui.
Chaqy Baqi ?ce ciblé fera de vieux os. Vieux
il mènera une vie de château, car son usurpa
-teur finit par voir tout 'clos', rejeté des siens
et par les tribunaux.
Au copiste usurpateur, chez qui, tout déborde
par Allah, il sera amarré à la longue corde car
ce Malin a enterré la foi et la concorde. La cri
-spation de la corde lui offrira l'incommode.
A un long filin, les âmes sont attachées
et le mal acquit inscrit, biens entachés.
Seul, le divorce permet d'être arrachée
car les malins ne sont que des déchets
A tout âge de leur vivant sur terre, ils roule
-ront pour voir de près Lucifer.Tout dépend
des maux et des calvaires des victimes qui
ont vécu une vie d'Enfer.
Allah est Le sans démenti, Le plus Clément,
Qui a expliqué à la lettre4 Son Jugement''En
cela, Il est imité par des gouvernants, qui ac
-cordant la grâce ou l'emprisonnement.
Dans ce chaos, du vingtième siècle, Linda
se localisa hors de son cercle, afin de s'a-
dapter à la nouvelle règle qui lui permit de
montrer ses ailes.
Raca-(ille) a été le mot choisi, auquel, Victor
Hugo avait dit : «Merci », au baron qui l'avait
haï et aux descendants de ce bandit.
Du trompé ex-époux j'ai eu pitié quand il sut
le décès de son ex-moitié. Cet amoureux n'a
pas tenu sur ses pieds. Sans 'honte', il versa
les larmes d'un aliéné.
En écrivant et en parlant, on écrase un mot qui
pourrait engendrer de nombreux maux. Des ex-
plications pareilles à des 'cadeaux' récupèrent
les détruits vieux châteaux.
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